Tome 1: 408 pages. .
Collection : Essai / Étude politique
Ce Tome 1 analyse et explique à la fois, à travers le MA-MB, en quoi nous pouvons considérer Malek Bennabi, figure remarquable, comme un penseur du monde arabo-musulman contemporain (m-a-m), et comme un redoutable critique du retard des sociétés majoritairement musulmanes, par rapport aux pays à civilisation technologique avancée. Retard expliqué et analysé en termes :
1- de divisions internes.
2- d’incapacité à élaborer de nouvelles stratégies politiques consensuelles susceptibles d’aider au dépassement et à l’élimination des causes de la division et des contradictions héritées du 13ème siècle avec la fin de l’empire almohade d’Andalousie, exacerbées depuis, à l’ère de la mondialisation postcoloniale.
3- de critique des sophistications économiques, d’où l’anti-économisme du modèle.
4- de causes culturelles du sous-développement saisi sous l’angle de sa propre historicité, et du point de vue du rythme des avancées du progrès dans les domaines de la science, des savoirs et des connaissances en général.
Enfin, aux multiples dimensions de ce retard par rapport aux pays à civilisation technologique avancée, le MA-MB fait, dans cet essai, la critique du choséisme saisi comme catégorie d’analyse résultant des impératifs du progrès d’une part, et de la concurrence des marchés, d’autre part. Celle-ci transforme l’univers du consommateur en un vaste espace ouvert, où les choses issues de la sphère de la production circulent et se consomment, mais où presque plus rien, n’a vraiment un sens, sinon de consommer. D’où la multiplication des conflits sociaux et des déséquilibres macroéconomiques et l’amplification des tensions géopolitiques à l’échelle mondiale.
Cette analyse sera poursuivie dans le Tome 2, prévu pour courant 2018.
1- de divisions internes.
2- d’incapacité à élaborer de nouvelles stratégies politiques consensuelles susceptibles d’aider au dépassement et à l’élimination des causes de la division et des contradictions héritées du 13ème siècle avec la fin de l’empire almohade d’Andalousie, exacerbées depuis, à l’ère de la mondialisation postcoloniale.
3- de critique des sophistications économiques, d’où l’anti-économisme du modèle.
4- de causes culturelles du sous-développement saisi sous l’angle de sa propre historicité, et du point de vue du rythme des avancées du progrès dans les domaines de la science, des savoirs et des connaissances en général.
Enfin, aux multiples dimensions de ce retard par rapport aux pays à civilisation technologique avancée, le MA-MB fait, dans cet essai, la critique du choséisme saisi comme catégorie d’analyse résultant des impératifs du progrès d’une part, et de la concurrence des marchés, d’autre part. Celle-ci transforme l’univers du consommateur en un vaste espace ouvert, où les choses issues de la sphère de la production circulent et se consomment, mais où presque plus rien, n’a vraiment un sens, sinon de consommer. D’où la multiplication des conflits sociaux et des déséquilibres macroéconomiques et l’amplification des tensions géopolitiques à l’échelle mondiale.
Cette analyse sera poursuivie dans le Tome 2, prévu pour courant 2018.